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25/04/2025 15h54

Les moutons voyagent à Chausey

Du 26 Février au 5 mars dernier, 3 adhérents du GONm ont accompagné Fabrice Gallien à Chausey pour des travaux à réaliser sur l’ilot de la Meule situé au nord-ouest de la grande ile. Nous étions accompagnés par une équipe de 4 personnes de deux entreprises de paysagistes basées dans la Manche.
Notre arrivée sur le ponton de Chausey, n’est pas passée inaperçue… débarquement de 8 big bag remplis de matériels divers, sans oublier le ravitaillement pour une semaine passée dans les gites de la ferme. Malheureusement le Sémaphore, lieu mythique pour tous les adhérents du GONm qui ont fait des stages avec Fabrice, était occupé actuellement par les agents du Conservatoire du Littoral.

Dès le lendemain, nous embarquions à l’aube pour plusieurs voyages vers l’ilot de la Meule.
Ce projet d’installer des moutons sur un îlot à Chausey a été élaboré par le GONm en partenariat étroit avec la SCI des Îles Chausey, propriétaire de l’archipel. Outre son autorisation d’aménager l’îlot, la SCI a également fourni les moutons et assure le financement du suivi sanitaire des animaux. Ce projet bénéficie d’un financement de EOC (Éoliennes Offshore de Courseulles, filiale de EDF Renouvelables) dans le cadre d’une mesure compensatoire du parc éolien en mer de Courseulles-sur-Mer, et de l’aide logistique très appréciée du Comité Régional de Conchyliculture (CRC) en la personne de Franck Lemonnier et son équipage, conchyliculteurs à Chausey.
Cette idée qui peut surprendre, a été motivée par la constatation que les oiseaux marins nicheurs ne s’installaient plus sur les ilots où la végétation était trop dense mais sur les rochers proches de la mer mais soumis au risque de submersion marine. C’est pourquoi les moutons ont été choisi plutôt que la tondeuse à gazon pour essayer de restaurer des prairies favorables à l’installation des nids de goélands.

Après 4 jours de travail parfois difficile et 150 piquets bois plantés sur un périmètre d’environ 500 mètres, la clôture était prête.
Dimanche matin, le berger qui s’occupe des moutons d’Ouessant qui pâturent librement sur la grande Ile, a sélectionné les 6 moutons qui allaient faire le voyage et nous a donné quelques notions de capture des moutons puisqu’il repartait le soir même. Le lundi matin nous avons réussi à capturer nos moutons et les transporter en deux fois, dans une cage faite pour 3 moutons. On peut tout faire au GONm, même passer un diplôme de berger !


Embarquement de la cage sur le doris et départ en mer.

Sur la Meule, les moutons se sont tout de suite rassemblés pour déguster l’herbe au goût iodé. Ils seront probablement rejoints plus tard par 2 chèvres qui devraient manger les ronces et autres arbustes.
 Mission accomplie durant une semaine sous un soleil magnifique mais un vent de nord-est plutôt frais avec gelée blanche le matin !  Nous en avons profité également pour faire de belles observations ornithologiques et comptages à marée basse.

+ d'infos sur le site dédié à la réserve de l'archipel des îles Chausey : https://chausey.gonm.org

Jean-Pierre Clave

10/02/2025 21h42

Synthèse de l’étude géomorphologique du massif dunaire de Vauville à Héauville 2021 - 2024

Classée depuis 1976, la réserve naturelle nationale de la mare de Vauville se situe à l’extrême nord-ouest du Cotentin, au sein du site Natura 2000  du « massif dunaire de Héauville à Vauville » qui couvre près de 700 hectares. La réserve naturelle constitue un site naturel et paysager exceptionnel et se distingue du reste du massif dunaire par sa grande mare d’eau douce de près de 9 hectares, accueillant 12 des 18 espèces d’amphibiens normandes, dont le triton crêté, espèce inscrite à l’annexe II de la Directive Européenne Habitat Faune Flore et classée comme vulnérable sur la liste rouge normande. En outre, la mare de Vauville présente donc un intérêt régional et national en termes de conservation des populations d’amphibiens.


Depuis 2019, le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) Normand travaille sur le changement climatique et ses conséquences à l’échelle régionale : recul du trait de côte, augmentation des phénomènes de submersion, de la fréquence des aléas climatiques (périodes de pluies et de sécheresse plus intenses et plus longues) ou encore la progression du biseau salé dans les nappes. Le dernier rapport du GIEC normand fait état d’une hausse du niveau marin d’environ 3 mm/an et d’une élévation de 20 cm au cours du siècle.
Face au recul inexorable du littoral sous les effets conjugués de l'érosion et du changement climatique, le cinquième plan de gestion (2018-2027) de la réserve naturelle oriente les réflexions vers l’anticipation et l’adaptation des actions de gestion face aux conséquences du changement climatique et à une inévitable intrusion d’eau de mer dans les années à venir, menaçant la pérennité de la mare d’eau douce, de la roselière et particulièrement de la diversité d’amphibiens qui s’y reproduisent.

En 2021, afin d’anticiper au plus vite ces effets et ainsi mieux adapter les mesures de gestion au repli des espèces et aux changements à venir, , le Groupe ornithologique normand (GONm), gestionnaire de la réserve naturelle, a engagé le Laboratoire de Géographie Physique (LGP) : environnements quaternaires et actuels (UMR 8591 CNRS), afin d’effectuer une étude géomorphologique de l’ensemble du massif dunaire.

Localisé particulièrement au sud de la réserve naturelle, ce programme de recherche avait d’une part pour objectif de compléter les connaissances déjà acquises sur la structure du massif dunaire, afin notamment de mieux comprendre la composition du massif dunaire et la relation entre les sables et les formations sous-jacentes. D’autre part, ce programme visait à l’identification des nappes souterraines, au niveau d’une zone déprimée où s’observent de nombreuses zones humides qui pourraient être liées à la présence d’une nappe d’eau peu profonde, contenue dans des sables peu épais et reposant sur un substrat peu imperméable.
Pour ce faire plusieurs techniques d’exploration géophysique ont été déployées, basée à la fois sur des mesures de résistivité du sous-sol (ERT), mais également sur des prospections géoradar.
En parallèle, dans le cadre d’un stage de Master, une cartographie géomorphologique (formations et modelés) de l’ensemble du massif dunaire, de l’érosion, des formes d’érosion et des grandes unités écologiques (dune mobile, fixée…), ainsi qu’une étude géo-historique et diachronique de l’érosion (recul du trait de côte et érosion dunaire), de la végétation et de l’occupation/usage du massif dunaire ont été réalisées.
En 2024, de nouvelles prospections ont été réalisées par la plateforme D2T (Drone, Terrain, Télédétection) de l’UMR Littoral – Environnement – Télédétection – Géomatique de l’Université de Rennes  spécialisée dans l’acquisition de données par drones équipés de différents capteurs (RGB, multispectrales, thermiques et Lidar), afin notamment d’envisager la détection des zones humides internes au massif dunaire, la caractérisation des formations végétales et le suivi morphologique à moyen et long terme (érosion, accrétion).

L’étude géomorphologique souligne l’érosion du trait de côte, dont le recul est estimé à une dizaine de mètres au cours des cent dernières années, menaçant à terme les milieux humides dunaires les plus proches du littoral et particulièrement la faune et la flore qui confèrent à la réserve naturelle de la mare de Vauville son caractère unique et remarquable.

L’analyse des formes d’érosion montre l’importance des usages anthropiques sur la morphologie actuelle du massif dunaire.
Tout comme observé lors de la mise à jour de la cartographie des végétations de la réserve naturelle en 2023, l’étude diachronique et les comparaisons de photographies aériennes prises au cours du siècle, mettent en évidence une stabilisation du massif dunaire, une fermeture et une banalisation des milieux. Sur la base de ces informations, une réflexion sera engagée afin de redynamiser la dune et pérenniser les milieux dunaires à forte valeur patrimoniale.

Cette étude met également en évidence la présence de deux cordons dunaires mobiles parallèles au trait de côte. En effet, le plus proche de l’estran semble correspondre à la dune blanche bordière. Au contraire, le second ne ressemble pas aux autres modèles dunaires et semble correspondre à plusieurs dunes accumulées, semi-fixées, pouvant dater de la transgression flandrienne (remontée du niveau de la mer d'environ 100 m survenu au Pléistocène, soit entre -20 000 et -10 000 ans). Afin de connaître l’origine exacte de cette succession de cordons dunaires mobiles, de nouvelles investigations pourraient être menées, notamment à travers la datation des dunes et des analyses granulométriques et géochimiques sur les sédiments profonds, afin d’affiner les connaissances sur la chronologie de formation du massif dunaire.

L’analyse du réseau hydrologique à travers la cartographie des mares souligne l’importance des zones humides interdunaires et une répartition inégale des mares. Cela permet d’identifier à la fois un potentiel très intéressant de zones humides interdunaires dans un contexte où la menace qui pèse sur celles les plus proches du trait de côte va grandissante, mais souligne également un fonctionnement complexe. Les mesures géophysiques ont montré la présence de sable saturé en eau douce, particulièrement sur les secteurs de dune fixées, en arrière des cordons de dune blanche.
La compilation sous SIG des données qui concernent les dépressions humides (altitude, profondeur…) et des données récoltées à l’aide des sondages et par drone pourraient apporter des informations supplémentaires quant au fonctionnement hydrologique du massif et aux connexions possibles entre certaines mares dépendantes des mêmes nappes qui est un enjeu pour la politique de conservation des espèces inféodées aux zones humides.

L’ensemble des données obtenues va permettre d’alimenter la réflexion sur les mesures de gestion à mettre en place afin de densifier le réseau de mares en limite sud de la réserve et ainsi assurer la connexion des milieux humides et des espèces qui en dépendent avec les mares situées sur la commune de Biville, particulièrement pressantes au regard des menaces d’intrusion marine.

Enfin, les données obtenues au cours des sondages par drone mettent en évidence un manque de connexion entre les mares de la réserve et les mares de Biville pouvant exercer une influence sur les populations d’amphibiens et notamment en limitant leur capacité à coloniser les sites aquatiques plus au sud du massif dunaire. La densité des points d’eau est un facteur jouant un rôle important sur la répartition des tritons crêtés (Jacob et Denoël, 2007), pouvant expliquer l’absence de cette espèce sur les autres mares du massif dunaires. En effet, à l’exception d’une mare creusée en 2015 sur l’ancien terrain militaire de Vasteville, le triton crêté n’a pas été observé ailleurs que sur la réserve naturelle.

Du fait de sa mobilité réduite, (points d’eau distants de quelques centaines de mètres), le triton crêté est une espèce particulièrement sensible à la fragmentation des habitats. La création de nouveaux sites aquatiques pourrait donc être envisagée afin notamment de permettre aux espèces à faible mobilité de coloniser ces nouveaux espaces et ainsi mieux adapter les mesures de gestion au repli des espèces aquatiques en cas d’intrusion marine au sein de la réserve naturelle.

Synthèse étude géomorpho 2021-2024-VF.pdf

 

23/01/2025 17h47

Réseau des Réserves de Normandie 2024

RRN N° 15 – 2024
Des espaces protégés pour les oiseaux, la faune et la flore.
Septembre 2023 à août 2024.

04/03/2019 15h15

Arrêté préfectoral de protection de biotope concernant Saint-Marcouf

Saint-Marcouf avril 2016/ photo : Guillaume DEBOUTL’arrêté préfectoral (pour lequel nous avions sollicité votre soutien) vient d’être pris : c’est une victoire du GONm et des protecteurs de la nature !

Lors de son passage en Commission départementale de la nature, des paysages et des sites - formation "nature", un avis favorable a été donné avec un petit compromis.

Ce compromis laisse ouverte la possibilité éventuelle d’un accès printanier à l’Île du Large. L’arrêté de protection de biotope est pris et si le débarquement est autorisé du 1er avril au 31 juillet sur l'Île du Large, ce sera de manière exceptionnelle pour des travaux de réparation ou de restauration - et encore faut-il que les organismes concernés puissent prouver que ces travaux ne peuvent pas être effectués à une autre période ; si ceux-ci ont lieu entre le 1er et le 31 juillet, il faudra impérativement une évaluation d’incidence et une autorisation préfectorale préalable.

Preuve que cet arrêté nous est favorable est qu'il a été approuvé en commission par le GONm, le GMN, Manche-Nature et la Fédération de la pêche. Par contre, les représentants des agriculteurs et des chasseurs ont voté contre pour soutenir les "amis" de l’île du Large.

Sans cet arrêté, une occupation permanente du site par les saccageurs de de l’île du Large était prévisible et il n’y avait pas d’arrêté pour la réserve du GONm sur l’île de Terre.

Ce sont donc plusieurs années d’actions continues et tenaces qui commencent à se concrétiser et il faut se féliciter du combat mené par le GONm et ses adhérents ! En tout cas, et plus que jamais, la veille va continuer !

Gérard Debout
Président du GONm
Conservateur de la Réserve Bernard Braillon, Île de Terre de Saint-Marcouf

Un problème toutefois : l’article paru dans Ouest-France qui ne fait état que de l’avis de l’association des "amis" de l’île du Large ; le journaliste ne nous a pas contactés et la présentation est totalement biaisée et malhonnête : le degré zéro du journalisme d’information !

 


Toutes les discussions sur Saint-Marcouf sur le forum du GONm : http://forum.gonm.org/search.php?keywords=saint-marcouf


Article officiel de la DREAL (publié le 22 mars 2019) :

La DREAL Normandie a organisé, du 08 octobre au 30 novembre 2018 inclus, une consultation du public sur le projet d’arrêté préfectoral portant protection de biotope des îles Saint-Marcouf (50).

L’archipel des Îles Saint-Marcouf abrite l’une des colonies d’oiseaux marins nicheurs les plus denses de France et les effectifs de Grand cormoran (jusqu’à 22 % de l’effectif nicheur du littoral français), de Goéland marin (jusqu’à 11 % des nicheurs français) et de Cormoran huppé (jusqu’à 7 % des nicheurs français) lui confèrent une importance nationale indéniable.

Au regard de ces forts enjeux ornithologiques, il est proposé la mise en place d’une mesure de protection réglementaire de ces îles sous la forme d’un arrêté préfectoral de protection de biotope portant sur les deux îles de l’archipel : l’île de Terre et l’île du Large.

La consultation du public relative à ce projet d’arrêté de protection de biotope est désormais close. 1154 avis ont été exprimés dans le cadre de cette consultation.

Télécharger :

 

13/04/2018 14h46

M20- Réserve du port de Cherbourg (50)

La réserve de la Rade de Cherbourg

Coordonnées GPS : 49,669 N et - 1,678 W

Description

La rade de Cherbourg est la seconde plus vaste rade artificielle du monde ; elle est fermée par deux séries de digues qui délimite tout d’abord la petite Rade puis la Grande Rade. Celle-ci est séparée du large par une série de digues qui ménagent trois passes : la Digue du Large, pourvue de trois forts, au centre de ce système de protection et, à l’Est, l’Île Pelée (entièrement occupée par un fort du XVIII ° siècle) abritent des colonies d’oiseaux de mer qui ont justifié leur mise en réserve ornithologique en 2002.

L’intérêt historique, architectural et patrimonial de ces digues et de ces forts est remarquable et l’intérêt ornithologique le complète.

Intérêt ornithologique 

Les oiseaux marins nicheurs ont justifié la création de la réserve : cormoran huppé (de 50 à 100 couples), goéland marin (70), goéland brun (2), goéland argenté (plus de 250 couples) auxquels s’ajoutent l’huîtrier-pie (10 couples), le faucon pèlerin et même une colonie d’aigrette garzette (30 à 40 nids) ; signalons aussi une petite population de pipit maritime (de l’ordre de 5 couples) et la nidification il y a quelques années de la sterne pierregarin.

En période internuptiale, le site constitue un dortoir pour le grand cormoran, le cormoran huppé et les goélands marin et argenté. Hivernage notable du tournepierre à collier et du bécasseau violet.

Vous rendre à la réserve GONm de la Rade de Cherbourg

La rade de Cherbourg est inaccessible mais visible depuis les digues du port ou peut être longée en bateau : les excursions en bateau qui permettent la visite de la rade sont chaudement recommandées.

Sinon, il est possible de voir les oiseaux soit depuis l’Ouest, à l’extrémité orientale de la digue Ouest (coordonnées en titre), soit depuis l’Est (Digue de l’Est).

Depuis l’Ouest, à Querqueville, longer le rivage (D901 puis D45) puis à droite après la cité Dixmude, se garer sur le parking du port de Querqueville, à l’entrée du fort et gagner la digue ouest de la rade jusqu’à son extrémité : vue sur le fort isolé de Chavagnac et sur le fort de l’ouest de l’autre côté de la Passe de l’Ouest qui a une larguer de plus d’1 km.

Puis se rendre à l’Est, au port de Collignon à Tourlaville (49,656 N et - 1,569 W et marcher sur la digue Est jusqu’à la passe Cabart Danneville.

12/04/2018 15h35

C12- Saint-Sylvain (14)

 La réserve ornithologique de Saint-Sylvain est située dans le département du Calvados sur la commune de Saint-Sylvain à 22 km au Sud-est de Caen. La réserve a une superficie de 4 ha.
Cette réserve appartient au Groupe ornithologique normand et a été obtenue dans le cadre des mesures compensatoires à l’installation du parc éolien de Fierville-Bray.
Ce petit secteur de plaine est soustrait à l'agriculture intensive de la plaine de Caen ; il est désormais dédié aux oiseaux, particulièrement l’œdicnème criard, le bruant proyer, l’alouette des champs...
Depuis 2011, la réserve est labourée et une bande périphérique, large de quelques mètres, est semée chaque année en blé, sorgho, phacélie, sainfoin, … ; le centre n'est pas ensemencé afin de laisser le sol nu pour accueillir l'œdicnème criard.
L'inventaire botanique réalisé par le CBN a permis de recenser 101 espèces de plantes, dont certaines rares voire peu communes pour la région comme le mouron bleu, le chardon penché, la petite linaire.

Les oiseaux de la plaine ont très vite trouvé occupé la réserve, puisque les nicheurs suivants y ont été observés : œdicnème, caille, perdrix grise, alouette des champs, bergeronnette flavéole, bergeronnette printanière, bruant proyer.
En période internuptiale, héron cendré, buse variable, bondrée apivore, busard Saint-Martin, busard des roseaux, faucon hobereau, faucon émerillon, faucon crécerelle, caille des blés, perdrix grise, œdicnème criard, goéland brun, goéland leucophée, goéland argenté, goéland cendré, mouette rieuse, pigeon ramier, alouette des champs, pipit farlouse, bergeronnette grise, bergeronnette flavéole, bergeronnette printanière, traquet motteux, bruant jaune, bruant des roseaux, verdier d’Europe, linotte mélodieuse, corbeau freux, corneille noire … y ont été observés.

Si l'accès au site n'est pas autorisé, une sortie découverte y est faite une fois par an.

15/02/2018 16h14

Réseau des Réserves de Normandie 2017

RRN 2017 - Réseau des réserves de Normandie

Des espaces protégés pour les oiseaux, la faune et la flore

Septembre 2016 à août 2017

17/02/2017 11h14

Réseau des réserves de Normandie 2016

Réseau des Réserves de Normandie 2016

Des espaces protégés pour les oiseaux, la faune et la flore

Septembre 2015 à août 2016

26/01/2015 16h46

Réseau des réserves de Normandie 2014

Réseau des réserves de Normandie 2014 : des espaces protégés pour les oiseaux, la faune et la flore.

Septembre 2013 à août 2014

 

13/11/2014 17h21

Charte Environnement

Le 5 juin 2014, l'UNICEM a choisi de fêter les 10 ans de sa charte environnement sur la réserve du GONm de la Grande Noé dans l'Eure. CarrieresSolidaires-HauteNormandie.jpg

Grâce aux aménagements réalisés et à la gestion menée sur le site, cette réserve, qui fut autrefois une ballastière, est devenue un des sites ornithologiques les plus remarquables de Normandie ! La réserve GONm de la Grande Noé a été choisie pour cette raison. 

Cette journée d'échanges, fructueuse, a été l'occasion d'organiser un chantier d'élimination d'une plante invasive : c'est ce que retrace cette vidéo.

Merci à l'UNICEM pour cette journée et ce film, merci à CEMEX pour son aide à la gestion de la réserve.

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